Metro & Stalker – La chronologie

Voici l’ordre chronologique des deux sagas, ce qui me sera pratique puisque j’ai prévu d’y jouer sur Xbox et de préférence dans l’ordre pour pouvoir suivre l’histoire convenablement.

Metro

  1. Metro 2033 Redux
  2. Metro Last Light Redux
  3. Metro Exodus

Stalker

  1. Stalker Shadow of Chernobyl
  2. Stalker Clear Sky
  3. Stalker Call of Pripyat
  4. Stalker Lost Alpha
  5. Stalker Heart of Chornobyl

TimeSplitters 2 – La porte des étoiles

Aujourd’hui je viens de terminer TimeSplitters 2, c’est la toute première fois que j’y joue et j’ai beaucoup aimé cette aventure.

Ce jeu est un des tout premiers FPS sur consoles et le principe est de traquer les TimeSplitters (des bandits) à travers différentes époques en empruntant une porte des étoiles à chaque fin de niveau. Un coup nous sommes en Sibérie, puis nous nous retrouvons dans une église a sauver des vierges pour ensuite finir dans un Tokyo moderne à faire de l’infiltration et j’en passe. Ce concept de porte des étoiles me fait penser à Stargate la série télé.

Alors etrangement je n’arrive pas à jouer avec le viseur, j’ai essayé sur différents niveaux mais ça passe pas. Je trouve que la jouabilité est beaucoup plus sympa sans, c’est comme si elle n’était plus en phase avec l’époque d’aujourd’hui. Le fait de bouger le viseur donne une sensation bizarre, c’est beaucoup plus agréable sans je trouve.

La campagne solo comporte 10 niveaux et dans chacun d’entre eux nous avons différents objectifs principaux et secondaires à remplir avant d’emprunter la porte pour pouvoir passer au niveau suivant.

Les niveaux du mode histoire sont

1990 – Sibérie
1932 – Chicago
1895 – Nôtre-Dame
2280 – La planète X
2019 – NéoTokyo
1853 – Le grand Ouest
1972 – Centrale Nucléaire
1920 – Ruines Aztèques
2315 – Usine de Robots
2401 – Station Spatiale

En plus d’un mode solo il y a un multi très très complet et super sympa, époque oblige (années 2002) il n’y a pas de jeu en réseau mais un multi local à 4 joueurs sur le même écran. Il y a également un éditeur de maps pour laisser parler notre créativité. C’est d’ailleurs très agréable de voir un jeu complet sans DLC ou microtransactions.

Le multi offline se nomme le mode arcade et dans ce mode nous aurons le choix entre pas moins de 126 personnages, et là, mais là, je pense que TimeSplitters est la SEULE saga au monde qui nous permets de jouer un singe zombie, un homme pain d’épice, Elvis (le King), un homme cafard, une chausette, une momie, un t-rex, une carcasse de vache, un robot avec un bocal de poisson rouge à la place de la tête pour n’en citer que quelques-uns.

Il y a également un mode de jeu que j’aime beaucoup, un mode « défi » ou l’objectif est de remporter des médailles de bronze, d’argent, d’or, et de platine. Ce mode de jeu va contempler les adeptes de scoring, au final la durée de vie est assez folle.

Je possède ce jeu sur Xbox Series mais il s’agit d’un titre rétro de la première Xbox, il n’y a donc pas de succès, pas de rembobinage et pas de 16/9ème non plus. Le jeu tourne en 60 images par seconde et est uscalpé en 4K. Le travail de Microsoft sur la rétrocompatibilité est assez dingue, limite on dirait un remaster. L’ensemble est sous titré en français, dommage cependant que ce ne soit pas une VF intégrale.

Je possède également le jeu sur PS5 et il s’agit d’une émulation de la version d’époque sur PS2. Le jeu est moins beau que la version Xbox sur Xbox Series mais il gagne un mode rembobinage et des trophées.

TimeSplitters si on accroche c’est pour un long moment, si l’on veux faire le jeu à 100% et tout débloquer (les maps, les challenges, les persos) réussir à obtenir les médailles d’or ou platine, faire tous les niveaux du mode histoire en easy/normal/difficile, il va falloir s’accrocher ! Ce sont des centaines d’heures de plaisir pure !

Halo 5 Guardians

Halo 5: Guardians est un jeu de tir à la première personne édité par Microsoft Studios et développé par 343 Industries.

L’histoire propose de contrôler les Spartans John-117 et Jameson Locke, les deux personnages étant en permanence soutenus par une équipe de trois autres Spartans contrôlés par l’ordinateur. Le célèbre major se lance dans la recherche de Cortana, qu’il pensait morte à l’issue de Halo 4.

Je viens de terminer la campagne.
Difficulté : Normal
Temps de jeu 05h 33mn
Z0/73 succès pour un total de 200/1250G

Le gros point fort du jeu est selon moi la technique, c’est juste parfait du début à la fin. Que dire sur le côté visuel ? Beau, magnifique, superbe, les mots me manquent ! Les décors sont à tomber par terre, c’est impressionnant ! À la base c’est un jeu Xbox One de 2015 mais il est sublimé sur Xbox Series X comme seul Microsoft sait le faire.

L’ensemble est également en VF intégrale et cerise sur le gâteau cette VF est de très très bonne facture, c’est un régal côté doublage tout simplement. La dessus ce sont des magiciens.

En ce qui concerne le reste j’ai bien aimé le jeu dans l’ensemble, je le préfère à Halo 4 qui est l’épisode que j’ai le moins aimé de la saga. Alors ce n’est pas non plus le hit de l’année, c’est, je trouve, un bon FPS de science fiction mais pas plus. L’OST est de bonne qualité mais il manque ce petit grain de folie qu’il y avait dans les premiers épisodes.

C’est la même chose pour le gameplay, ça fonctionne très bien mais il manque également un petit truc qui fait qu’ont y revient avec plaisir.

Je pense que ce jeu a d’abord été créé pour être joué à 4 en coopération plutôt qu’en solo. En multi online l’expérience doit être tout autre.

Aladdin – Le duel des années 90

Aladdin est à l’origine un long métrage de Walt Disney, sortit dans les salles en 1993. Pour accompagner la sortie du film, quoi de mieux que de sortir un jeu, ce qui se faisait souvent à l’époque. A cette époque donc, sortait Aladdin sur les 16 bits du moment, mais conçu par des studios différents. Sur Super NES, c’est Capcom qui se chargera de la mission, tandis que sur Megadrive, c’est Virgin Interactive en collaboration avec Disney Software qui s’attela à la tâche.

La version Megadrive

Aladdin sur Megadrive se présente comme un jeu de plateformes 2D classique. Il faut progresser dans les niveaux et collecter des morceaux de scarabés qui débloquent des mini-jeux bonus entre les scènes. Ramasser des diamants permettra d’acheter des objets au stand du colporteur que l’on trouve une fois par niveau.

Le jeune Aladdin ne saute pas sur ses ennemis pour les assommer. Il combat à l’épée, on bourrine beaucoup, et parfois un coup vient à être bloqué, ce qui génère un petit flash lumineux accompagné d’un son distinctif, le tout apportant beaucoup de dynamisme à l’action. Aladdin peut balancer des pommes pour étourdir les gardes, nous pouvons sauter de plateforme en plateforme, et grimpe à des cordes. Marcher sur les plateformes n’est pas toujours lisible tant les décors sont chargés. Cela n’est pas très gênant en soi et apporte un certain cachet au jeu.

La réalisation est le gros point fort de cet épisode. Les graphismes ont une envergure rarement atteinte à l’époque, l’animation est détaillée avec minutie chez tous les personnages et les musiques sont fidèles à l’animé. Au final Aladdin est un excellent jeu de plateforme.

La Version Super Nintendo

La version Super Nintendo est tout à fait différente. Aladdin ne se bat pas à l’épée mais il saute sur ses ennemis les deux pieds en avant et rebondit sur eux en faisant un salto ! Il est ainsi possible de sauter d’ennemi en ennemi en calculant bien l’envergure de ses mouvements. La même chose sur des corniches. Aladdin peut ici s’accrocher à tous les rebords qu’il croise et les utiliser pour se hisser. Il peut aussi utiliser un drap comme parachute. Bref, dans cette version, il est un véritable acrobate ! Ces facultés sont de loin le plus gros point fort du jeu qui devient très agréable à pratiquer.

Le jeu est extrêmement coloré. L’ambiance est parfois bon enfant, comme avec le niveau du génie, mais parfois plus intense passé les premiers niveaux. Les musiques sont moins fidèles au film mais correspondent bien à ce que l’on attend d’une bonne musique de jeu à l’époque. Le jeu est plutôt facile et prend quelques liberté avec le scénario du film en nous emmenant dans une pyramide où Abu s’est perdu après être tombé du tapis magique ! La quête des diamants roses, dont il faut mémoriser les emplacements pour certains, est une excellente occasion de refaire le jeu.

A présent comparons !

Il est vrai que la version MD en impose, là où la plupart des déclinaisons de jeux Sega souffraient de la comparaison avec leurs versions Super Nintendo. Le level-design me semble beaucoup plus intéressant sur Super NES du fait de toutes les intéractions possibles d’Aladdin avec les décors. On est aussi plus dans une expérience de jeu classique, là où la version Megadrive arrive à nous projeter davantage dans une sorte d’immersion directe avec le film.

Quoi qu’il en soit les deux jeux sont excellents et il serait dommage de passer à côté de l’un ou de l’autre !

The House of the Dead Remake

L’histoire se déroule dans une sorte de « manoir-laboratoire » infesté de monstres, monstres que l’on devra tous éliminer tout en veillant à ne pas tuer les scientifiques innocents qui sont dans le bâtiment. Au passage nous recevons un appel de notre petite amie, celle-ci nous demande de venir la sauver alors que tout le monde meurt dans le manoir.

Les scientifiques étant des civils les sauvés régénèrera notre vie, mais nous en fera perdre si on les tue par inadvertance. Si nous n’avons plus de vie, c’est la fin de la partie. Plus il y aura de scientifiques de sauvés meilleur sera la fin que l’on débloquera.

Le jeu étant un rail shooter, on ne contrôle pas les déplacements de notre personnage, on se laisse guider en dégommant tout ce qui arrive à l’écran.

L’histoire est divisé en 4 chapitres et chacun se termine avec un boss où il faudra tirer dans un point faible (indiqué par des croquis avant de l’affronter) pour lui faire un maximum de dégâts. Une partie se termine en environ 40 minutes.

Voici ce que nous propose le menu principal,

Une nouvelle partie, en continuer une que vous aviez arrêtée, les statistiques de nos parties passées, le classement pour les scores local, qui nous permet de voir nos scores passés. Ensuite il y a une galerie nous permettant de profiter plus en détails des modèles d’ennemis et d’obtenir des informations supplémentaires sur eux.

Je joue avec la manette pro et voici ce que nous propose les commandes du jeu, il y a l’activation ou non du gyroscope, j’ai essayé avec mais je n’y arrive pas, j’ai donc désactivé l’option. Nous avons au choix la possibilité d’utiliser le stick gauche ou droit pour déplacer la caméra du viseur. Nous pouvons également soit recharger l’arme manuellement ou automatiquement selon notre préférence. Pour terminer nous avons la touche pour tirer, logique.

Dans l’ensemble il y a assez d’options pour choisir la jouabilité qui nous convient le mieux, mais pour un rail shooter une manette ne remplacera jamais le combo Wiimote + Nunchuk. Ce manque est pour moi le gros point noir de cette console, mais je dois faire avec, pas le choix.

Pour continuer le jeu nous propose un mode performance, préférant la fluidité aux graphismes j’ai opté pour ce mode et je n’ai constaté aucun ralentissement, le jeu étant d’ailleurs plutôt chouette visuellement.

Pour le reste nous pouvons régler la luminosité, le son et la présence ou non du HUD. Nous avons également le choix entre un mode de score à l’ancienne ou moderne, le moderne nous rapportant davantage de points.

Au lancement d’une partie on nous propose deux modes de jeux différents, original et horde, dans le mode horde les ennemis sont plus nombreux, le manoir est alors véritablement infesté et sauver certains scientifiques devient compliqué. Au final l’essentiel est là, le remake est bien fait, c’est du bon travail de la part des développeurs.

Points positifs

  • Fun à jouer
    La rejouabilité est importante
    Le savoir faire de Sega pour l’arcade

Points négatifs

  • Un rail shooter à la manette
    Une compilation avec les autres épisodes n’aurait pas été de refus
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